André Buet

Le goût de la généalogie s’est progressivement développé en France depuis 50 ans. Dans beaucoup de familles, un « passionné » consacre une partie de ses loisirs à la recherche des ancêtres. On peut se demander pourquoi!

Pendant des siècles, cette préoccupation fut réservée aux familles nobles : sous l’Ancien régime, elles devaient périodiquement établir les preuves de leur filiation, en fournissant les actes de baptêmes , mariages, décès et partages de biens, à l’Administration Royale : leurs devoirs et surtout leurs droits (les « privilèges ») en dépendaient. On trouve dans les archives des familles nobles, des « extraits » des titres, tels que des contrats de mariages,- très lisibles car souvent recopiés au 17ème à partir d’originaux du 14ème –, des actes de « foÿ et homages » de vassal à suzerain, des « aveux et dénombrements » qui sont des inventaires de propriétés à des moments donnés…

De plus la Noblesse fournissant les cadres des Armées participait directement à l’Histoire de France, celle décrite dans les livres, autour des noms des « grandes familles »…

Pendant longtemps, on ne vit donc aucun intérêt à rechercher l’origine des familles villageoises. Celles-ci restaient d’ailleurs fixées dans un rayon de quelques kilomètres, et on savait retrouver sans difficulté à Montillot le cousin ou l’oncle qui s’étaient mariés à Brosses, Asquins ou Arcy et y avaient fait souche !

Premier changement important du mode de vie à la fin du 19ème siècle : la « Révolution industrielle » a entraîné l’éclatement des familles. Pour échapper à une pauvreté sans espoir, on « tente sa chance » , on quitte le village pour aller travailler à des centaines de kilomètres, dans les banlieues des grandes villes.

Les liens familiaux se relâchent, on se perd de vue.

Ensuite, la première moitié du 20ème siècle est marquée par deux guerres mondiales et leurs cortèges d’atrocités : le « présent » s’imposant malheureusement, toute réflexion sur le passé devait attendre !

Ce n’est donc qu’après 1950 que certains descendants des « transplantés » éprouvent le besoin de retrouver leurs racines naturelles, insatisfaits de leurs rattachements à des groupes sociaux liés au travail ou aux loisirs, groupes souvent bouleversés et qui leurs paraissent plus artificiels.

Et une « mode » s’est créée, puis étendue.

De plus, en sortant de la simple reconstitution des filiations, on s’est rendu compte, en lisant les actes de naissances, mariages, décès, achats et ventes de biens… , que le « Peuple » avait aussi écrit l’Histoire : chaque famille a vécu, souffert dans sa chair ou simplement ressenti des évènements nationaux.

Comment s’y prend-on pour «  faire de la Généalogie » ?

Il faut de la patience, du bon sens et une méthode…

On commence par les ancêtres proches ( en se limitant à 2 ou 3 générations au début), dont on collecte tous les actes d’état-civil, du côté paternel et du côté maternel. Pour cela, on fouille d’abord tiroirs et dossiers de la maison, on interroge les plus anciens, on écrit dans les mairies éloignées, qui détiennent les actes des 100 dernières années et qui peuvent en fournir des copies aux descendants directs…Et l’on est rapidement amené à se déplacer : les chefs-lieux de département détiennent dans un bâtiment appelé « Archives départementales » les registres qui contiennent les actes couvrant plusieurs siècles. On distingue 2 types de registres : jusqu’en 1792, les « registres paroissiaux » rédigés par les curés des paroisses ; ensuite, les « registres d’Etat-Civil », tenus par les secrétaires des mairies.

Pour Montillot, ces actes ont été transcrits à partir de microfilms, sous forme de cahiers, afin de faciliter les recherches en limitant les déplacements

Les documents de référence restent les registres originaux, déposés aux Archives départementales de l’Yonne, 37 Rue Saint-Germain à AUXERRE. Ils ont été microfilmés pour protéger leur conservation et peuvent être consultés en salle de lecture. Les originaux ne peuvent être examinés que sur autorisation spéciale.

9 cahiers, dont 7 sont manuscrits, ont été établis en 2 exemplaires, couvrant les périodes suivantes:

N°1 : – baptêmes (B), sépultures (S) et mariages (M) de 1672 à 1699

N°2 : –         »                     »                         »            de 1700 à 1709

N°3 : –         »                     »                         »            de 1731 à 1759

N°4 : –         »                     »                         »            de 1760 à 1784

N°5 : –         »                     »                         »            de 1785 à 1792

–  naissances (N), décès (D) et mariages (M)     de 1792 à 1799 (Etat- Civil)

N°6 : –          »                     »                   »                 de 1800 à 1809

N°7 : –          »                     »                   »                 de 1810 à 1818

N°8 : –          »                     »                    »                de 1819 à 1823 .

N°9: – voir plus loin

Pour les recherches généalogiques familiales sur Montillot, il faut savoir que les registres paroissiaux de 1710 à 1730 n’existent plus , et que les registres d’état- civil de 1823 à nos jours sont disponibles en mairie .

Pour la période de 1710 à 1730, un certain nombre d’informations sont pourtant disponibles :

1)- Une liste simplifiée des Naissances et décès :   un secrétaire de la mairie, – ou un autre habitant du village, a eu l’heureuse idée, vers 1828, alors que tous les registres existaient encore, de relever toutes les naissances et tous les décès de 1700 à 1827, de les classer par ordre alphabétique, puis chronologique, et d’en constituer un registre séparé, maintenant déposé aussi aux Archives Départementales  et exploitable sur microfilm.

Notre cahier N°9, intitulé  » Période 1700 à 1735 » en présente une transcription qui permet un recoupement avec les cahiers N° 2 et 3 couvrant les périodes voisines.

2)- Une information sur quelques mariages de cette période : la seule source disponible est constituée par les contrats de mariages passés devant notaires. On les trouve aussi aux Archives départementales – Registre 3E/54 -, pour les actes établis par le notaire Edme DEFERT, de 1721 à 1743 . Cette recherche a été effectuée en 1993 par Mme BOURDILLAT, à la demande de la Société Généalogique de l’Yonne; les résultats apparaissent à la fin de la brochure intitulée « Table alphabétique des mariages de la paroisse de Montillot » (1672 à 1792), dont un exemplaire est déposé à la mairie. Ils concernent 47 mariages de 1722 à 1730.

II- Constitution des cahiers : la plupart de ces cahiers sont manuscrits;  les premiers relevés couvrant une période partant de 1731 ont été effectués pour un usage personnel et sont écrits en caractères très petits et peut-être difficilement lisibles; ensuite un effort de clarté a été apporté à la présentation, et , pour terminer, les cahiers n° 1,2 et 9 ont été établis en « traitement de texte ».

Le principe général retenu pour ces relevés est le suivant :

Seuls les renseignements indispensables pour reconstituer les filiations ont été notés : noms, prénoms, professions, liens familiaux, lieux d’origine ou de domicile. Pour ces derniers, seuls les noms des autres communes, et ceux des hameaux de Montillot sont mentionnés; lorsqu’il s’agit du bourg de Montillot, il n’y a en général pas d’indication,… ou au maximum, « demeurant à Mtlot », ou « demt à M », ou « de M. »…

– Toutes les formules rituelles, se répétant d’acte en acte, ont été écartées : Par exemple, pour les mariages, les formules telles que : « …après les publications faites trois dimanches consécutifs et au prône de la paroisse… », « …nul empêchement n’ayant été constaté… », « …selon les rites de l’Eglise apostolique et romaine… ». Pour les décès, « …après avoir reçu les sacrements de pénitence et d’extrême onction… ». Pour les témoins, « …se sont présentés devant moi, assistés de … »; « …ont déclaré ne savoir signer, de ce enquis par moy… »

Dans quelques cas seulement , les textes complets ont été reproduits, afin de donner une idée du style d’écriture de l’époque.

– L’orthographe des noms de familles et des lieux (patronymes et toponymes), est strictement respectée. Si bien qu’on trouvera le même nom écrit de plusieurs façons différentes, selon l’époque et surtout selon le témoin cité et le rédacteur de l’acte. Il faut être  conscient qu’au 17ème et au 18ème siècles,   la majorité des habitants étaient illettrés. Lorsqu’ils venaient déclarer une naissance ou un décès, ils ne pouvaient donc pas épeler leur nom, ni celui de leur hameau.

Seuls les notables, -bourgeois, nobles, certains artisans et commerçants – …- étaient capables de signer ( plus quelques femmes dans les familles nobles). Dans certains cahiers, la mention « (+sgn) » a été ajoutée à la suite du nom du témoin signataire, et un certain nombre d’échantillons de signatures sont reproduits en fin de document.

– Pour les mariages et les décès, les âges indiqués sont souvent approximatifs, les raisons en étant les mêmes que pour l’orthographe. Dans certains cas, j’ai rappelé les dates de naissance, après les avoir retrouvées dans des actes plus anciens ( ce travail de recherche, facilité par le faible volume des cahiers, pourra être fait par les lecteurs intéressés). De même, pour un certain nombre d’enfants morts jeunes, j’ai indiqué la date de décès à côté de la date de naissance .

– Dans les cahiers  en traitement de texte, les notes en italique et entre parenthèses fournissent des informations qui ne figurent pas dans l’acte lui-même, mais résultent d’autres actes, plus ou moins éloignés dans le temps.

– Selon les cahiers, le nom du curé est indiqué en début d’année ou en début de page; seuls les changements sont signalés ensuite – remplacements occasionnels, décès, ou départ de la cure .

Pour l’histoire de Montillot, sachons que « Sa Vénérable Personne Messire le curé Denis DELAPLACE a son nom gravé sur la cloche baptisée en 1648 et que, d’après un acte notarié de l’époque, Edme DELAPLACE était curé en 1653. Ici, en 1672, au début des registres paroissiaux conservés jusqu’à nos jours, nous trouvons la signature …

– du « prestre-curé » Guillaume COLLAS desservant notre paroisse; il y est mort le 7 Novembre 1715.

– ensuite, le curé  Jean Baptiste FAULQUIER lui a succédé; il est mort le 28 Novembre 1750

– puis le curé Pierre GOUREAU , décédé le 20 Décembre 1763, âgé de 55 ans environ

– le curé Jacques Anne DESAUTELS, arrivé en janvier 1764, devra affronter les difficultés liées à la fin de « l’Ancien Régime » et à l’avènement de la République; il rédigera et signera les actes jusqu’en octobre 1792; ensuite le nouvel « état civil » relèvera de l’Administration municipale élue; mais il est resté « habilité » à la rédaction des actes, en tant que « secrétaire-greffier ». Il est décédé le 18 Août 1796 à 72 ans.

Certains cahiers présentent dans leur préambule, un rappel de la situation politique de la France à l’époque correspondante.

– Corrections : malgré plusieurs « relectures », il est certain qu’un certain nombre d’erreurs subsistent, dues d’abord aux difficultés de déchiffrement de certains passages (écriture ancienne, détérioration de certaines pages des documents microfilmés, mauvaise qualité du papier d’origine traversé par l’encre si bien que recto et verso se superposent …), mais aussi à de banales fautes de transcription.

En cas de litige, il sera nécessaire de consulter les registres originaux aux Archives départementales ( le lecteur qui aura fait une telle recherche est prié de laisser sur place une note indiquant la correction à apporter).

Cas des hameaux de Montillot : les chercheurs doivent savoir que Vaudonjon et les Hérodats ont fait partie jusqu’à 1790 de la paroisse d’Asquins, que Marot (ou Marault) et son étang étaient de la paroisse de Monteliot; que Malfontaine dépendait de Brosses, alors que le Gué de Combre, de l’autre côté du ru de Brosses, était rattaché à Monteliot. Il y avait d’autres petits hameaux, réduits souvent à une métairie, dont on trouve encore trace par quelques ruines, repérées sur la carte I.G.N. au 1/25000 : la Bertellerie, Baudelaine, Champ-Cornille, Conflans, la Calaberge, la Gache, l’Ermitage …

Mais en hiver les chemins étant mal commodes, il arrivait qu’on porte les nouveaux-nés à l’église la plus facilement accessible : Montillot pour Boutaut ou Marot, Brosses pour le Gué de Combre, Montillot pour Bois d’Arcy (qui relevait alors d’Arcy sur Cure) ou Vaudonjon…

(Voir les cartes en fin de ce cahier N°1)

III. Histoire brève de l’état civil (d’après « la généalogie; histoire et pratique » – Références LAROUSSE » et « La généalogie » « Que sais-je N°917″ P.U.F.)

 » A la fin des grandes invasions, l’Eglise prend en charge la tenue de registres, pour des motifs essentiellement religieux. Soucieuse du salut des âmes, elle commande d’abord l’enregistrement des baptêmes. Puis la multiplication des unions illégitimes la conduisit à ordonner celui des mariages, rendu également nécessaire par l’obligation d’observer les prescriptions canoniques relatives aux unions entre parents : la prohibition est ramenée, en 1215, du septième au 4ème degré, ce qui interdit encore les alliances entre petits-enfants de cousins-germains. de même, le fait de tenir un enfant sur les fonts baptismaux crée entre parrains et marraines une parenté spirituelle, l' »affinité », qui interdit leur union : les évêques ordonnent donc de noter dans les registres les noms des parrains et marraines. »

Il reste peu de traces  de ces registres anciens, les curés ne voyant pas la nécessité de les conserver, à une époque où une grande partie de la population était illettrée et où « une déclaration sous serment valait bien un texte ».

Ce n’est qu’au cours du 16ème siècle que des ordonnances royales commencent à codifier l’état civil, dans le cadre de l’organisation de la Justice.

Sous François Ier, l’Ordonnance de Villers- Cotterets du 15 Août 1539 ,- dite « la Guillelmine », du nom du Chancelier Guillaume POYET -, prévoit:

– la tenue de registres de baptêmes « qui contiendront le temps et l’heure de la nativité », les nouveaux-nés étant déclarés sous le nom de leur père

– que « les curés seront tenus de mettre les dicts registres par chacun en devers le greffe ».

Le Concile de Trente (1545-1563) fait obligation de mentionner les noms des parrains et marraines.

Sous Henri III, l’Ordonnance de Blois, en mai 1579, exige en plus la tenue de registres de sépultures et de registres de mariages.

Mais les curés étant trop souvent négligents, c’est sous Louis XIV que l’Ordonnance de Saint Germain d’avril 1667, – appelée « Code Louis » – :

– prescrit la tenue des registres en double exemplaire et le dépôt du second au greffe du bailliage de la sénéchaussée (institution civile)

– cherche à uniformiser la rédaction :

– pour les baptêmes : jour de la naissance, prénom de l’enfant, noms des parents et des parrain et marraine

– pour les mariages : noms, prénoms, professions et domiciles des époux, noms des parents, des 4 témoins et leur degré de parenté

– pour les sépultures, le jour du décès et les noms de deux témoins ou amis.

Des formulaires sont remis au prêtre dans ce souci d’uniformité.

 Ce règlement fut mieux respecté, ce qui nous permet de disposer dans la plupart de nos villages , d’archives remontant au moins aux années 1670 à 1675 …; 1672 pour Montillot, 1682 pour Givry, 1641 pour Brosses, 1634 pour Arcy,  1614 pour Vermenton, 1609 pour Asquins, 1650 pour Saint- Père, 1592 pour Vézelay et 1594 pour Chatel-Censoir ( ces deux cités avaient une abbaye, donc un Chapitre de chanoines pour les administrer …)

Sous Louis XV, la déclaration royale du 9 Avril 1736 reprend et précise tous les textes antérieurs: les registres seront tenus en deux « minutes » signées chacune par les parties …tous les actes seront inscrits à la suite, sans « blanc » …

Dans toute cette période, l’état civil est donc lié à l’administration des sacrements de la religion catholique : les minorités religieuses en sont exclues ( surtout après la révocation de l’Edit de Nantes…)

La Révolution, par le décret de l’Assemblée législative du 20 Septembre 1792, enlève aux prêtres la tenue des registres et la confie à des « officiers » (c’est-à-dire des fonctionnaires) de l’Etat, mais n’introduit pas de modifications importantes dans leur contenu.

Un exemplaire reste à la Mairie, l’autre est déposé au Greffe du Tribunal; on ajoute un relevé alphabétique annuel ainsi qu’une table décennale sur un registre séparé.

Il faut noter une modification temporaire importante, celle du calendrier.

La Convention a adopté le 4 frimaire An II (24-11-1793) le calendrier républicain, une « ère nouvelle » ayant commencé à la proclamation de la République le 22 Septembre 1792.

Mais dès le 1er janvier 1806, Napoléon remet en vigueur le calendrier grégorien.

A noter aussi que la loi du 13 fructidor An VI (30 Août 1798), impose la célébration des mariages au chef-lieu de canton, et seulement les « décadis ».

Un arrêté du 7 thermidor An VIII (26 Juillet 1800) rétablit la célébration des mariages dans les communes. Pour Montillot, nous devons donc rechercher à Chatel-Censoir, chef-lieu de canton de l’époque, les actes de mariages de la période mi-1798 à mi-1800.

Au 19ème et au 20ème siècle, seules des améliorations de détail ont été apportées (mentions marginales …).

Reproduction des documents d’archives

Les généalogistes amateurs sont de plus en plus nombreux; les documents anciens sont trop fragiles et ne peuvent subir de fréquentes manipulations; d’où l’intérêt évident de leur microfilmage.

Cette opération, trop coûteuse pour les maigres budgets de notre Administration des Archives, a heureusement été lancée vers 1950 grâce à l’intervention d’un groupement religieux international, appelé couramment « les Mormons ».

C’est  « l’Eglise de Jésus-Christ des Saints des Derniers Jours« , créée vers 1830 près de New-York par Joseph SMITH. Sa valeur fondamentale est la « famille éternelle ». Il s’agit de développer et de resserrer les liens entre parents et enfants, qui se retrouveront ensemble dans une vie éternelle. Cela est étendu à toutes les générations passées qui seront ainsi reliées, tels les maillons d’une longue chaîne; une chaîne d’ancêtres que chaque membre devra identifier, afin de les baptiser rétrospectivement et d’assurer leur salut…Dès 1890, une bibliothèque généalogique d’intérêt mondial a donc été créée.

Après la 2ème guerre mondiale, ayant dressé le bilan des dépôts d’archives détruits, les Mormons entreprirent dans le monde entier une vaste opération de « sauvetage », par microfilmage. L’Eglise de Jésus-Christ S.D.J. a alors conclu avec nos Archives Nationales un accord pour reproduire, dans chaque dépôt départemental, l’état-civil depuis plus de cent ans et les cahiers paroissiaux. En échange des facilités accordées, chaque dépôt reçoit une copie gratuite.

Une énorme collection est ainsi constituée (200 millions d’actes en 1997 …); un vaste entrepôt, constitué de 6 tunnels, a donc été construit dans les montagnes granitiques de Salt Lake City (Etat de l’UTAH -U.S.A.) pour assurer à cette « mémoire de l’humanité » des conditions optimales de conservation. Les chercheurs du monde entier sont accueillis sur place ( le Groupement généalogique d’AIR-FRANCE organise des séjours chaque année). Des copies des microfilms peuvent être commandées par les Associations.

André BUET détenant un exemplaire de ces « cahiers », se tient à disposition pour conseils et informations pouvant faciliter les recherches familiales.

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